Recettes de suprêmes de Les Gourmands disent

Pour cette recette, nous avons choisi un chou vert. Nous l’avons haché avant de le saisir. Nous l’avons accommodé d’un suprême de volaille. Pour rester dans le thème, nous avons préparé une sauce suprême à laquelle nous avons ajouté quelques grains de citron caviar. Ce dernier permet de surprendre les papilles. Chaque grain croque sous la dent et, libère sa saveur citronnée.

Nous avons accompagné ce suprême de volaille d’une sauce à base de carapaces de crevettes et de petits épeautre.

Notre cuisine devient de plus en plus responsable. Nous sommes convaincus qu'il est possible de cuisiner gourmand tout en étant "raisonnable". Vous allez peut-être penser que l'on en fait trop? Mais n'acheter que ce qu'il faut...devient notre leitmotiv. Et, jeter est pour nous [de plus en plus] un drame. Pour cette suggestion, nous n'aurions pas jeté le corail de nos Saint-Jacques mais nous préférons les cuisiner à part. Nous avons donc préparé une sauce. Nous aurions pu aussi réaliser une bisque comme dans cette autre recette. Nous l'avons accompagné d'un suprême de volaille cuit au four. Mais, un poisson cuit à la vapeur, quelques pâtes,...peuvent aussi faire l'affaire!

[Vaincre...] 🐓Le télétravail a du bon. Est-ce la nouveauté ou un certain sentiment de culpabilité [des vacances qui n’en sont pas..] mais notre première journée de confinement a été plutôt productive. Nous avons établi des règles et, avons investi chacun un espace libre pour installé nos postes de travail. On ne s’interdit pas quelques pauses de thé et/ou café qui rappellent le lointain souvenir de la machine à café. Côté cuisine… Nous poursuivons nos petites suggestions de recettes. Si certaines paraissent un peu compliquées d’autres sont hyper simples et il suffit parfois d’une petite touche d’épices ou autre pour donner un peu de caractère à un plat. Nos placards ne regorgent pas forcément de pâtes et de farine [du moins pas plus que d’habitude…] mais sont remplis d’épices en tout genre. Il en suffit généralement d’une pincée pour teinter une assiette. Pour cette suggestion, nous avons cuisiné un suprême de volaille. nous préférons ce morceau car il a l’avantage, avec la présence de l’os, de permettre à la viande de ne pas trop se dessécher. Nous avions chargé dans notre panier quelques carottes. Il est aujourd’hui assez facile d’en trouver de couleurs différentes. Nous tenions aussi à souligner que nous nous efforçons dans la manière du possible de suivre une alimentation équilibrée. Si nous ne consommons pas tous les jours de la viande ou encre du poisson [cf notre rubrique consacrée…], nous sommes conscients que ces derniers recèlent des nutriments essentiels à notre alimentation que l’on ne peut pas trouver ailleurs. Nous sommes aussi convaincus qu’un aliment pris de manière isolée n’a pas vraiment « de valeur », il faut l’intégrer dans un tout et considérer davantage les combinaisons alimentaires. Les Nutriscores nous font gentiment rigoler. Même si il est bon de se soucier de son alimentation, comment faut-il interpréter qu’un soda « dépourvu » de sucre soit mieux noté que notre bon vieux Roquefort. [Parenthèse fermée…]. Nous avions chargé dans notre panier quelques carottes. La carotte contient plein de caraténoïdes qui ont notamment des propriétés antioxydantes et…[bla-bla] limiteraient les risques cardiovasculaires, le vieillissement des cellules…Au passage, pour que ceux-ci soient bien assimilés par l’organisme, il faut compter sur une certaine dose de gras :-)…

[Re]sortons les barbecues. 🔥Nous n’arrivons pas à nous détourner des figues. Il faut dire que la période est si courte. Nous avons fait la razzia sur l’étal de notre petit producteur. Elles s’invitent dans une de nos nouvelles recettes en venant apporter une petite touche automnale à un suprême de volaille grillé et, une sauce au bleu. Nous sommes fidèles à nos petits producteurs de volailles, Séverine et David Alvès*. Il est rare que notre panier, jour de marché, ne contienne pas un de ces beaux suprêmes que l’on a baptisé « grand blanc ». Il s’est instauré avec eux une petite complicité… L’intérêt de cuisiner un suprême [c’est à dire un blanc de volaille encore présent sur le coffre du volatile!] permet à la viande de garder tout son moelleux, de moins se dessécher. Nous le cuisons généralement au grill barbecue**. Pour l’agrémenter? Nous avions un peu d’un fromage bleu [fatigué]. Nous avons improvisé une petite sauce en ajoutant simplement un peu de crème fleurette [entière]. Nous avons cherché autour de nous quels ingrédients à rajouter pour étoffer notre plat. Le bleu nous a fait penser au céleri branche. Ce légume se marie bien avec le bleu. Nous avons l’habitude de le proposer dans une petite préparation pour nos apéritifs [cf recette]. Nous avons ajouté nos figues fraîches simplement tranchées…

Notre cuisine devient de plus en plus responsable. Nous sommes convaincus qu’il est possible de cuisiner gourmand tout en étant « raisonnable ». Vous allez peut-être penser que l’on en fait trop? Mais n’acheter que ce qu’il faut…devient notre leitmotiv. Et, jeter est pour nous [de plus en plus] un drame. Pour cette suggestion, nous n’aurions pas jeté le corail de nos saint-jacques mais nous préférons les cuisiner à part. Nous avons donc préparé une sauce. Nous aurions pu aussi réaliser une bisque comme dans cette autre recette. Nous l’avons accompagné d’un suprême de volaille cuit au four. Mais, un poisson cuit à la vapeur, quelques pâtes,…peuvent aussi faire l’affaire!

La simplicité s’invite à notre table avec cette recette. Nous avons fait rôtir un suprême de volaille avec un céléri rave.

Nous choisissons généralement pour ne pas dire toujours des suprêmes de volaille car la présence de l’os évite à la viande de trop se dessécher. Le suprême est à la volaille ce que la côte de boeuf est…au boeuf 😉 ! Ceci dit, il nous restait à trouver une petite idée. Nous aimons tester de nouvelles association. Faire toujours la même recette n’est pas très palpitant! nous aimons partir à la découverte. On se fixe sur les produits de saison…poires…topinambours et, pourquoi pas?

Il est rare que notre panier de provisions ne soit pas garni d’un suprême de volaille. Nous avons la chance de trouver sur notre marché un couple de producteurs Séverine & David Alvès. Nous essayons de multiplier les recettes, aidés par les produits de saison… pour varier les plaisir ! En général, nous choisissons la cuisson au four ou encore au feu de bois. Pour cette suggestion, nous avions envie d’un jus acide et coloré. Nous l’avons accompagné d’une jardinière de légumes.

Une conversation entre amis m’a récemment [un peu] énervé. Prétextant que le manque de temps était la raison de ne pas parvenir à se nourrir correctement et, de sauter sur le premier paquet de gâteau restant comme seul repas. Je ne dis pas qu’il ne nous arrive pas de temps en temps de piocher dans le frigo pour picorer un morceau de fromages. Mais pour nous le grignotage n’est pas la base d’une alimentation équilibrée. Faut-il vraiment autant de temps pour se cuisiner une assiette? Alors que fleurissent les box ici et là qui sont censées faciliter la vie et, en quelque sorte se donner la vague impression de cuisiner [un peu], nous restons attachés à un schéma plus classique...

[Sous bois...] 🍄 Un champignon en chasse un autre! Nous abandonnons le cèpe pour quelques trompettes de la mort. Nous l’avons choisie pour accompagner un suprême de volaille. Nous avons réalisé une crème relevée d’une pointe de piment. La cuisson autour de l’os permet de conserver une viande plus moelleuse. Nous préférons cuisiner la volaille en suprême plutôt que de simples filets.

[Truffe!] Nous avons fait les fonds de placard et, avons mis la main sur quelques lamelles de truffes conservées dans de l’huile. Nous conviendrons que ce n’est pas de la truffe fraîche mais cela se défend quand même… Nous avons cuisiné un suprême de volaille et, pour rester dans le thème, nous avons ressorti notre recette de sauce suprême. Quelques légumes d’hiver et, nous tenions un plat gourmand.

Lorsque les blettes à carde sont jeunes, ses feuilles et ses tiges peuvent se consommer crues en salade. Avec les plants plus âgés, on consommera la blette sautée, à la vapeur, en soupe, cuite à l’eau.

our la volaille, nous sommes fidèles à nos chers producteurs, Séverine & David, Maison Alves à Revel-Tourdan (38). Nous choisissons un gros suprême de poulet.

Notre envie de marrons vient teinter nos plats.